Si la soumission sexuelle d’une femme musulmane à un homme chrétien symbolisait la conquête et la supériorité du Christianisme à l’Islam, les légendes et histoires d’Espagne s’avèrent être d’excellentes sources pour attraire à cette métaphore, maintes fois répétées. L’archétype de la jeune musulmane chaste, mentionnée dans les écrits français et anglais comme ‘Saracen princess/princesse sarrasine’, est belle et sexuellement mûre. » The Eve of Spain: Myths of Origins in the History of Christian, Muslim, and Jewish Conflict.
Toutes les photos ont été prises pendant la guerre de libération algérienne, plus précisément entre 1957 et 1962, en Grande Kabylie par Gérard Van Der Linden.
Vous viendrait-il à l’esprit de considérer un lieu où se sont déroulées des partouzes pédophiles comme un must-see ?
C’est pourtant ce qui continue de se faire avec le Jardin Majorelle qui, malgré la sombre affaire de pédophilie dans laquelle il a été impliqué, n’a pas perdu en popularité. Bien au contraire, le site est un des lieux les plus visités de Marrakech, au Maroc, avec plus de 600.000 visites par an, faisant de cet endroit un des lieux « incontournables » de la ville, au même niveau que Jemaa Al Fna ou la Koutoubia.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, contextualisons rapidement le cadre de la pédophilie et de la prostitution de mineurs au Maroc.
Toutes les photos suivantes ont été prises en 2005 par Stuart Franklin, un photographe britannique né en 1959, au Niger. Elles exposent notamment l’esclavage en société touareg. Timidria, une ONG nigérienne, lutte depuis sa fondation en 1991 contre l’esclavage au Niger, qui a été pénalisé par une loi de 2003 qui le punit d’une peine de prison.
All the following photographs were taken in Niger by british photographer Stuart Franklin in year 2005, and show slavery within tuareg society. The NGO Timidria has been fighting slavery in Niger since its founding in 1991, which was eventually penalized in 2003. Since then, slave traders now incur jail.
Ayorou/ Veille du marché touareg d’esclave du dimanche, certains portant un bracelet de chevilles, discutant avec un vendeur Haoussa. 2005. — Day before the Sunday market Tuareg slaves, some with anklets, in discussion with a Hausa vendor.
Birni N’Konni/ Mariam Illitnine, qui travaille avec l’association Timidria, identifiant des esclaves sur une image. — Mariam Illitnine, who works with Timidria, identifies slaves in images she is shown. 2005.