Toutes les photos suivantes ont été prises en 2005 par Stuart Franklin, un photographe britannique né en 1959, au Niger. Elles exposent notamment l’esclavage en société touareg. Timidria, une ONG nigérienne, lutte depuis sa fondation en 1991 contre l’esclavage au Niger, qui a été pénalisé par une loi de 2003 qui le punit d’une peine de prison.
All the following photographs were taken in Niger by british photographer Stuart Franklin in year 2005, and show slavery within tuareg society. The NGO Timidria has been fighting slavery in Niger since its founding in 1991, which was eventually penalized in 2003. Since then, slave traders now incur jail.
Ayorou/ Veille du marché touareg d’esclave du dimanche, certains portant un bracelet de chevilles, discutant avec un vendeur Haoussa. 2005. — Day before the Sunday market Tuareg slaves, some with anklets, in discussion with a Hausa vendor.Birni N’Konni/ Mariam Illitnine, qui travaille avec l’association Timidria, identifiant des esclaves sur une image. — Mariam Illitnine, who works with Timidria, identifies slaves in images she is shown. 2005.
Ayorou/ Veille du marché touareg d’esclave du dimanche, certains portant un bracelet de chevilles, discutant avec un vendeur Haoussa. 2005. — Day before the Sunday market Tuareg slaves, some with anklets, in discussion with a Hausa vendor. 2005.Zangitchiga/ Aishatou Agali, esclave agée de 15 ans, trie le linge de son maître Touareg. — Aishatou Agali, a slave, of 15 years old sorts through the washing she has to do for her Tuareg master. 2005.Niamey/ Weila Ilguilas, directeur de l’association Timidria, négocie sur la fin de l’esclaage avec le chef touareg Amadou Habi. — Director of Association Timidria, Weila Ilguilas, negotiates ending slavery with Tuareg chieftan Amadou Habi who denounces relatives. 2005.Tajae/ Khadijatou, femme de l’ex-chef de Tajae, dans un palais traditionnel touareg. La famille est étroitement liée à la traite d’esclaves. — Khadijatou, Tuareg wife of the ex-chief of Tajae in the Tuareg palace. The family are closely associated with slave trading.Tajae/ Le marchand d’esclave et chef touareg Ibrahim Agali avec ses femmes et des memrbes de sa famille dans leur palais. — Slave trader and Tuareg chieftain Ibrahim Agali with his wives and family members inside the Tuareg palace. 2005.Tajae/ Le chef touareg Ibrahim Agali (gauche) accompagné de son cousin Sayadi Ibrahim (droite). — Tuareg chieftan Ibrahim Agali (l) with his cousin Sayadi Ibrahim (r) in the Tuareg palace.Tajae/ Khadijatou, femme de l’ex-chef touareg de Tajae, en compagnie de ses filles Aminatou te Fatima, et d’une esclave portant un sceau. — Khadijatou, Tuareg wife of the ex-chief of Tajae in the Tuareg palace with royal daughters Aminatou and Fatima and slave holding a bucket. 2005.Tajae/ Petite fille esclave à la collecte de l’eau.— Slave girl collecting water. 2005.Zango Aroki/ Bracelet de cheville d’esclave traditionnels que les femmes devaient porter jusqu’il y a 3 ans. Ces bracelets les empêchaient de s’enfuir. — Traditional slave anklets that women had to wear in many parts of Niger until 3 years ago. They prevented slaves running away. 2005.Tajae/ Ibrahim Ag Ali, chef touareg, dans son palais. — Tuareg chieftan Ibrahim Agali in the Tuareg palace. 2005.Doguerawa/ Esclave de 14 ans nommée Shaoudi. — Slave girl of 14 years called Shaoudi. 2005.Tajae/ Youssouff, un esclave, porte un tapis pour le chef Touareg Ibrahim Agali (gauche) alors qu’il quitte le palais avec son cousin Sayadi Ibrahim (droite). — Tuareg slave Youssouff carries mat for Tuareg chieftan Ibrahim Agali (l) as he leaves palace with his cousin Sayadi Ibrahim (r).Ayorou/ Esclaves, connues sous le nom de « Bellas ». — Slave girls known as Bellas in the village near the border with Mali called Ayorou. 2005.Zango Aroki/ Bracelet de cheville d’esclave traditionnels que les femmes devaient porter jusqu’il y a 3 ans. Ces bracelets les empêchaient de s’enfuir. — Traditional slave anklets that women had to wear in many parts of Niger until 3 years ago. They prevented slaves running away.Nobi/ Contraste de classes sociales entre les membres de la famille du chef Touareg à gauche, et les esclaves à droite, cheveux découverts. — The class division between the Tuareg chief family on the left and slaves, who wear no headscarf, on the right. 2005.
5 réponses à “Photos/ Esclavage en société Touareg du Niger”
Elles n’ont pas d’origine ou de noms ces personnes ? Ou esclave c’est leur origine et leur nom ?
Ça aurait été bien d’au moins une fois indiquer leur origine.
Bonjour. Je n’ai ni leurs noms, ni leurs origines, j’ai fourni en légende toutes les informations qui étaient données par le photographe. Vous pouvez éventuellement vous plaindre à lui. Cordialement.
Il me semble que leur culture est un mélange entre celle de la société qui les esclavagise et leur culture d’origine. Mais cela varie aussi d’autres facteurs comme l’âge par exemple.
[…] (Disputed Desert, Bar Lecocq). The emancipation process is still incomplete in Niger. “The NGO Timidria has been fighting slavery in Niger since its founding in 1991, which was eventually penalized in […]
5 réponses à “Photos/ Esclavage en société Touareg du Niger”
Elles n’ont pas d’origine ou de noms ces personnes ? Ou esclave c’est leur origine et leur nom ?
Ça aurait été bien d’au moins une fois indiquer leur origine.
Jolies photos.
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Bonjour. Je n’ai ni leurs noms, ni leurs origines, j’ai fourni en légende toutes les informations qui étaient données par le photographe. Vous pouvez éventuellement vous plaindre à lui. Cordialement.
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Les esclaves sont de culture touaregue également ?
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Il me semble que leur culture est un mélange entre celle de la société qui les esclavagise et leur culture d’origine. Mais cela varie aussi d’autres facteurs comme l’âge par exemple.
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[…] (Disputed Desert, Bar Lecocq). The emancipation process is still incomplete in Niger. “The NGO Timidria has been fighting slavery in Niger since its founding in 1991, which was eventually penalized in […]
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